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Concours Physique ENSI Chimie Sud 1985 (Énoncé)

PROBLÈME DE MÉCANIQUE (sur 75 points)
(Les candidats sont invités à écrire en marge et en regard de chaque réponse le numéro de la question)
I
Un point matériel M, de masse m, est relié à un point fixe O par une tige rigide sans masse de longueur a. Le mouvement de M sera rapporté au repère orthonormé (O,i,j,k) fixe dans un espace galiléen. La trajectoire du point M dans l'espace est sur une sphère de rayon a et de centre O. L'articulation en O est sans frottement. La position de M sera donnée par :


OM=r(icosϕ+jsinϕ)+zk
avec                                                                                       r2+z2=a2
L'accélération de la pesanteur est donnée par : g=gk, (g>0).

1° Montrer que la force de réaction mR passe par O.
2° Calculer le moment cinétique de M par rapport à Oz (projection sur Oz du moment cinétique par rapport à O).
3° Démontrer que r2˙ϕ=C=Constante.
II
1° Calculer l'énergie cinétique Ec du point M.
2° Quelle est l'énergie potentielle de M (on considérera que l'énergie potentielle est nulle pour z = 0) ?
3° Que peut-on dire de l'énergie mécanique totale Em du point M ?
4° Donner son expression. On introduira ici la constante K définie par K=2Em/m.
5° Tenant compte de la relation obtenue en II.4°, et de la relation r2+z2=a2, exprimer K à l'aide de z,˙z et des constantes a, g, et C.
6° En déduire que a2˙z2 est égal à un polynôme de degré 3 en z qui s'écrit :
a2˙z2=(a2z2)(K2gz)C2=P(z)
7° En déduire que ˙z s'annule pour une valeur au moins de z qu'on appellera z0.[1]
III
On se propose dans cette partie d'étudier le mouvement et de montrer qu'il se situe entre deux plans horizontaux.
1° Justifier qu'en tout point de la trajectoire où ˙z=0, celle-ci est tangente à un cercle z=cte (parallèle géographique).
2° On prendra comme instant initial t=0, l'un de ceux où cette tangence se produit, avec v0=r0˙ϕ0j (r00 et ˙ϕ00)[2] et avec la position initiale M0 prise dans le plan xOz et définie par :
OM0=r0i+z0k(r20+z20=a2)
Exprimer les constantes C et K à l'aide des conditions initiales.
3° Décomposer alors P(z), défini en II.6°, sous la forme : P(z)=(z0z)Q(z) et exprimer Q(z) en fonction des conditions initiales.


4° Montrer qu'une racine z1 de Q(z) et une seule est comprise entre a et a.
5° Exprimer ˙ϕ20 à l'aide de a, g, z0 et z1. En déduire le signe de (z0+z1) et montrer que la trajectoire reste comprise entre les plans z=z0 et z=z1.
6° Montrer que :Q(z)=2g(z1z)(zz2)  avec z2=a2+z0z1z0+z1
7° Quelle est la valeur v0C de v0 pour que la trajectoire soit circulaire ? Quelle est la valeur minimale v0E de v0 pour que, z0 étant négatif, le point atteigne le plan de l'équateur (z=0) ?
8° Dans le cas où z0 est négatif, donner à l'aide d'un dessin les projections sur xOy des trajectoires possibles en fonction des valeurs de v0 par rapport à v0C et v0E.
IV
On se propose d'étudier dans cette partie le mouvement du point M au cours du temps.
1° Pendant l'intervalle de temps infinitésimal dt, z varie de dz. Exprimer dt en fonction de dz, de a et du polynôme P(z).
2° Quel est le déplacement angulaire dϕ correspondant à dz ?
3° On appellera T la durée qui sépare deux passages consécutifs de la trajectoire à la côte z0 (ou z1) ; c'est une période temporelle. Exprimer T/2 à l'aide d'une intégrale prise entre z0 et z1.
Soit Φ la variation de ϕ correspondante pendant le temps T ; c'est la période angulaire. Exprimer Φ/2 à l'aide d'une intégrale du même type.
N.B. - On ne cherchera pas à résoudre les intégrales précédentes.
V


Dans la suite, on n'envisagera plus que le cas des oscillations de faible amplitude, c'est-à-dire que z0 et z1 resteront voisins de a. On posera alors : z=a+u, où u est très petit devant a (u/a<<1). Ainsi, u restera compris entre u0 et u1. Les intégrales introduites en IV.3° se transformeront en intégrales prises entre u0 et u1, qui deviendront alors calculables grâce à des développements limités justifiés par les hypothèses énoncées ci-dessus.
1° Dans ce but on donnera d'abord un développement limité de (z2z)1/2 sous la forme : k+lu, les coefficients k et l ne dépendant que de a.
 2° Donner un développement limité de 1r2=1a2z2 sous la forme mu+n, m et n ne dépendant que de a.
3° Même question pour le produit (z2z)1/2×r2 qui s'exprimera sous la forme pu+q.
4° Écrire alors l'intégrale qui exprime T compte tenu des expressions précédentes.
5° Donner l'expression de C à l'aide de u0, u1, a et g (on devra aboutir à une expression simple grâce aux approximations définies en V.).
6° Écrire maintenant l'intégrale qui exprime Φ.
VI
En vue de l'achèvement des calculs, on donne ici les valeurs des intégrales définies suivantes. Posons pour cela :
In=u1u0undu(uu0)(u1u)
avec :                                                 I1=πu0u1;I0=π;I1=(u0+u1)π2
1° A l'aide de ces données, calculer T et Φ.
2° Entre deux tangences consécutives de la trajectoire au cercle de rayon r0 (ou r1), le déplacement angu­laire Φ est voisin de π, dont il s'écarte de ΔΦ. Donner l'expression de ΔΦ.
3° Supposons r0r1. Montrer que la trajectoire est pratiquement elliptique[3] et que les axes sont animés d'un mouvement de rotation lente dont on calculera la vitesse angulaire ΔΦ/T. On prendra T=πa/g.
4° Considérer le cas où r1=0. Que devient T ? On posera ici α=r0/a. Que remarque-t-on ?




[1] Il faudrait spécifier que cette racine est comprise entre a et +a.
[2] Le problème est plus simple si on suppose ˙ϕ0>0.
[3] Il serait plus raisonnable de l’admettre.

Concours Physique ENSI Chimie Sud 1985 (Corrigé)

I.
Soit σtige le moment cinétique en O de la tige : dσtigedt=OMmR. La tige ayant une masse négligeable, ce moment cinétique est négligeable, donc R est parallèle à OM.
Le moment cinétique en O du mobile est σ=OMmv=(r0z)m(˙rr˙ϕ˙z)σz=mr2˙ϕ.
D’après le théorème du moment cinétique, dσdt=OM(mg+mR)=OMmgdσzdt=0. Donc  r2˙ϕ=C reste constant au cours du temps.
Dans la suite, nous supposerons cette constante non nulle, ce qui interdit à r de s’annuler et à z d’atteindre les valeurs extrêmes à priori possibles, a et a. Cela implique aussi que ˙ϕ, ne pouvant s’annuler, garde un signe constant, donc que le mobile tourne toujours dans le même sens autour de Oz. L’énoncé ne fait pas cette hypothèse, en III 2° il suppose ˙ϕ00, ce qui rend la discussion plus compliquée.


II.
Ec=12m(˙r2+r2˙ϕ2+˙z2).
Ep=mgz.
Em=Ec+Ep reste constant au cours du temps.
Em=12m(˙r2+r2˙ϕ2+˙z2)+mgz=12mKK=˙r2+C2r2+˙z2+2gz.
 r2+z2=a22r˙r+2z˙z=0˙r2=z2˙z2r2K=z2˙z2r2+C2r2+˙z2+2gz=a2˙z2+C2a2z2+2gz
En isolant a2˙z2, on obtient a2˙z2=(a2z2)(K2gz)C2=P(z)
Pour déterminer les racines de P(z)=0, cherchons les informations dont nous disposons sur le signe de P(z) :
·         P(z) de degré 3 a au plus trois zéros
·         limzP(z)=+
·         P(a)=C2<0
·         au cours du mouvement a2˙z20, donc il existe un domaine de z situé dans a<z<a pour lequel P(z)0
·         P(a)=C2<0.
Il n’y a que deux formes possibles du graphe de P(z) compatibles avec ces faits :

Le graphe de droite est le cas général : P(z) possède trois zéros, deux compris entre a et a, qu’on appellera z0 et z1 , et un supérieur à a, qu’on appellera z2. Le graphe de gauche correspond au cas particulier où il y a une racine double ; le mouvement est alors circulaire horizontal.
Il ne faut pas répondre que, puisque P(z) est de degré impair, il a au moins un zéro, car ce zéro est z2, alors que dans la suite on considère que c’est z0.


III.
1°  Si ˙z=0, ˙r=z˙zr=0, tandis que r˙ϕ0 : la vitesse, qui est orthoradiale, et la trajectoire sont tangentes à un cercle z=cste.
C=r20˙ϕ0K=r20˙ϕ20+2gz0.
 P(z)=(a2z2)(r20˙ϕ20+2gz02gz)r40˙ϕ20=(a2z2r20)r20˙ϕ20+(a2z2)(2gz02gz)=(z20z2)r20˙ϕ20+2g(a2z2)(z0z)=(z0z)Q(z)Q(z)=2g(a2z2)+(z+z0)r20˙ϕ20
Comme z0<a, Q(a)=r20˙ϕ20(z0a)<0 ; comme a<z0, Q(a)=r20˙ϕ20(z0+a)>0 ; Q(z) étant un polynôme du second degré,  il a une racine et une seule dans l’intervalle a,a.
Comme a2˙z20, le raisonnement de II 7° montre que z reste entre z0 et z1. En z=z1, Q(z1)=2g(a2z21)+(z1+z0)r20˙ϕ20=0˙ϕ20=2g(a2z21)(z1+z0)(a2z20)>0z1+z0<0
Factorisons z1z dans Q(z) :
Q(z)=2g(a2z2)+(z+z0)2g(a2z21)(z0+z1)=2g[(a2z2)(z0+z1)(z+z0)(a2z21)]z0+z1=2g[a2(z1z)z2z1z2z0+z21z+z21z0]z0+z1=2g[a2(z1z)+zz1(z1z)+z0(z21z2)]z0+z1=2g(z1z)[a2+zz1+z0(z+z1)]z0+z1=2g(z1z)(z+a2+z0z1z0+z1)=2g(z1z)(zz2)z2=a2+z0z1z0+z1
Autre méthode :
z1
et z2 sont les racines de Q(z)=2g(a2z2)+(z+z0)r20˙ϕ20=0, où d’après 5° r20˙ϕ20=2g(a2z21)(z1+z0) ; ils sont donc les racines de :
 Q(z)=2g(a2z2)(z+z0)2g(a2z21)(z1+z0)=0z2+a2z21z1+z0za2+a2z21z1+z0z0=0
En utilisant la somme (on peut aussi utiliser le produit) des racines de cette équation du second degré :
z1+z2=a2z21z1+z0z2=a2+z1z0z1+z0
Pour que la trajectoire soit circulaire, il faut que z1=z0, soit d’après III 5° ˙ϕ20=2g(a2z21)(z1+z0)(a2z20)=gz0v0C=g(z20a2)z0
Pour que le point atteigne le plan de l'équateur, il faut que z1>0 ; or z1 est racine de Q(z)=0, Q(a)<0 et Q(a)>0 ; donc la condition est :
Q(0)<02ga2+z0r20˙ϕ20<0v20=r20˙ϕ20>2ga2z0v0>vOE=2ga2z0
On peut imaginer la projection de la trajectoire sur le plan horizontal comme formée de parties tangentes aux cercles de rayons les valeurs extrêmes de r, soit r0, r1 et éventuellement a.
          
       
Un calcul précis (voir annexe) pour z0=3a/2 donne les courbes suivantes, où les distances sont graduées en unités de r/a :

On voit qu’un feston correspond à plus d’un demi tour et que la trajectoire n’est pas fermée.


IV.
a2˙z2=P(z)adzdt=±P(z)dt=±adzP(z).
r2˙ϕ=Cdϕ=Cdtr2=±aCdz(a2z2)P(z)
T2=|z1z0adzP(z)| ; Φ2=|z1z0aCdz(a2z2)P(z)|.
N.B. Il faut prendre la valeur absolue de l’intégrale, car on ne sait pas si z0 est inférieur ou supérieur à z1.
V.
 zz2=a2+zz1+z0(z+z1)z0+z1=a2+(a+u)(2a+u0+u1)+(a+u0)(a+u1)2a+u0+u1=4a22a(u+u0+u1)+O(u2)2a+u0+u1=2a1u+u0+u12a+O(u2)1u0+u12a2a(1u/2a+O(u2))(zz2)1/2=12a(1+u/4a+O(u2))k=12al=14a2a
 
1r2=1a2z2=1a2(a+u)2=12auu2=12au(1u/2a)1=12au(1+u/2a+O(u2))m=12an=14a2
 (z2z)1/2×r2=12a(1+u/4a+O(u2))12au(1+u/2a+O(u2))=1+3u/4a+O(u2)(2a)3/2up=1(2a)3/2q=32(2a)5/2.
T2=|z1z0adz(z0z)2g(zz1)(zz2)|=a2g|u1u0[du(uu0)(u1u)12a(1+u/4a+O(u2))]|T=ag|u1u0(1+u/4a+O(u2))du(uu0)(u1u)|

C2=r40˙ϕ2=(a2z20)×2g(a2z21)z0+z1=2g(2au0u20)(2au1u21)2au0u1=4agu0u1(1u0/2)(1u1/2)(1u0/2u1/2)C2=4agu0u1+O(u4)C=4agu0u1(1+O(u2))
L’intégrant de Φ est celui  de T multiplié par Ca2z2=C2auu2=gau0u1u(1+u2a+O(u2)).
Φ=|u1u0u0u1u(1+u2a+O(u2))(1+u/4a+O(u2))du(uu0)(u1u)|=u0u1|u1u01u(1+3u/4a+O(u2))du(uu0)(u1u)|
VI.
Comme : In=u1u0undu(uu0)(u1u) où : I1=πu0u1;I0=π;I1=(u0+u1)π2
T=ag(I0+I1/4a)=πag(1+u0+u18a)Φ=u0u1(I1+3I0/4a)=π+3πu0u14a
ΔΦ=3πu0u14a.
3° Nature de la trajectoire.
D’après la loi fondamentale de la dynamique,mR+mg=ma ou :
m¨x=mRxm¨y=mRym¨z=mRzmg
Comme mR est parallèle au rayon vecteur, Rxx=Ryy=Rzz.
En outre, x2+y2+z2=a2.
Pour les petites oscillations, en développant ces équations jusqu’à l’ordre 1 en x,y, on obtient :
zamRzmgmRxmgxamRymgya¨x+gxa=0¨y+gya=0ω=gax=Xmcos(ωt+ϕ)y=Ymcos(ωt+ϕ)
A cet ordre, la projection de la trajectoire sur le plan horizontal est une ellipse fixe parcourue avec la période 2πa/g.
Lente rotation de cette ellipse.
Si on pousse les calculs à l’ordre suivant, l’ellipse tourne lentement :ΔΦT34u0u1ga3.
Pour des festons proches du fond de la cuvette u0=az0=aa2r20=aa(1r20a2)1/2aa(1r202a2)=r202a et u1r212a, donc ΔΦT3r0r1g8a5/2. Pour réussir de façon convaincante l’expérience du pendule de Foucault, il faudrait que ce terme soit petit devant ωsinλ=11/h.
Si r10, on remarque que ΔΦ0 et surtout queTπag(1+u08a). Or u0=az0=aa2r20=aa(1r20a2)1/2aa(1r202a2)=r202a. D’où Tπag(1+r2016a2). On retrouve la formule de Borda T2πag(1+θ2m16) car r0/a=sinθm est voisin de l’amplitude angulaire θm du pendule et une période du pendule correspond à deux festons : T=2T.



Annexe 1 : tracé numérique des trajectoires.
Pour calculer numériquement les projections sur l’horizontale des trajectoires, il est malaisé d’utiliser les équations différentielles de l’énoncé, car elles comportent des racines carrées. Il est préférable d’opérer comme suit.
Exprimons la conservation du moment cinétique :r2˙ϕ=r0v0˙ϕ=r0v0a2z2=˙ϕ0a2z20a2z2.
En utilisant r2+z2=a2r˙r+z˙z=0, exprimons le carré de la vitesse :
v2=˙r2+r2˙ϕ2+˙z2=z2˙z2r2+r20v20r2+˙z2=a2˙z2+r20v20a2z2
Exprimons la conservation de l’énergie, ce qui donne le résultat de II 6° :
E=12mv20+mgz0=12ma2˙z2+r20v20a2z2+mgza2˙z2=(v20+2gz02gz)(a2z2)r20v20
Dérivons par rapport au temps et éliminons la solution parasite ˙z=0 :
2a2˙z¨z=2(v20+2gz0)z˙z2ga2˙z+6gz2˙za2¨z=(v20+2gz0)zga2+3gz2v20=(a2z20)˙ϕ20
D’où le système différentiel en ϕ(t),z(t) :
{¨z=g(3z22z0za2)(a2z20)˙ϕ20za2˙ϕ=˙ϕ0a2z20a2z2
qu’on résout numériquement et dont on trace les courbes en coordonnées polaires a2z2,ϕ, soit en langage maple :
> a:=1:g:=1:
graphe:=proc(z0,derphi0,duree,couleur)
local K,eq1,eq2,ci,sol,phi,z:
global a,g:
eq1:=diff(z(t),t,t)=g*((3*z(t)^2-2*z(t)*z0)/a^2-1)-(1-z0^2/a^2)*derphi0^2*z(t);
eq2:=diff(phi(t),t)=derphi0*(a^2-z0^2)/(a^2-z(t)^2);
ci:=z(0)=z0,D(z)(0)=0,phi(0)=0;
sol:=dsolve({eq1,eq2,ci},{z(t),phi(t)},numeric);
plots[odeplot](sol,[sqrt(a^2-z(t)^2)*cos(phi(t)),sqrt(a^2-z(t)^2)*sin(phi(t))],0..duree,numpoints=200,color=couleur);
end:
> zi:=-evalf(sqrt(3)/2):derphi0C:=sqrt(-g/zi);derphi0E:=sqrt(-2*g*a^2/zi/(a^2-zi^2));
> liste:=[0.7,0.85,1,1.2,1.4]:
couleurgraphe:=proc(i);
if i<3 then green elif i=3 then blue else red fi
end:
> plots[display]({seq(graphe(zi,derphi0C*liste[i],5.7,couleurgraphe(i)),i=1..5)},scaling=constrained);
> plots[display]({seq(graphe(zi,derphi0E*liste[i],5,couleurgraphe(i)),i=1..5),plots[polarplot](1,color=black,linestyle=3)},scaling=constrained);
> plots[display]({graphe(zi,derphi0C*0.7,5.7,black),graphe(zi,derphi0C*1.4,5.7,black)},scaling=constrained);
> plots[display]({graphe(zi,derphi0E*1.4,5.7,black),plots[polarplot](1,color=black,linestyle=3)},scaling=constrained);
>

Annexe 2 : dessins vectoriels utilisés.


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